En ce qui concerne les infrastructures (fondations, pieux et épaules), compte tenu de la nature des sols de base et des charges induites par la superstructure, des fondations indirectes constituées de plinthes rectangulaires, fondées sur des pieux, ont été adoptées. Les dimensions des plinthes sont évidemment déterminées par le nombre de pôles nécessaires pour transférer les charges induites par la superstructure.

Dans tous les cas, les piles à la place tous présents dans la même partie de l'installation 6.20mX4.60m avec 50cm des murs épais, tandis que la hauteur de e'invece déterminé par la part du projet livelletta de d, ce qui implique un variabilita'per le même d'une min. 6,00 m pour les cellules les plus étrangères, à une altitude de max. 11.00 m pour les batteries situées dans la partie centrale du viaduc.

Les épaules sont du type massif également basées sur des plinthes sur des poteaux.

Les piles, comme on l’a bien dit, ont toutes la même section de base et le même type de pulvino, en particulier, cette dernière a une trappe d’accès au sommet qui permet d’inspecter la partie intérieure de la pile.

La pile en fait se révèle être constitué par un profilé creux, rigidifiée par la présence d'une cloison centrale sur toute sa hauteur, ce qui à son tour présente un trou d'homme (Sur la partie supérieure), ce qui permet l'inspection des deux milieux dans lesquels il est esserre divisé la pile.

En plus de l'inspectabilité interne de la pile, certains des câbles étant du type à tension variable, les ponts sont conçus de manière à garantir un espace suffisant pour permettre l'opération de cordage susmentionnée.

En fait, entre deux ponts consécutifs, nous trouvons un trou d'homme transversal de 1,00 m.

Le projet sismique du viaduc a été réalisé grâce à une analyse détaillée. En particulier, on a considéré que sous l'action sismique extrême (états limites ultimes), une ductilité se développe au niveau des sections de base des piles, dans la direction transversale et dans la direction longitudinale.

En ce qui concerne le comportement global du viaduc sous l'action sismique, en tenant compte de la contrainte du système réalisé, ce qui permet de schématiser l'ensemble comme une séquence de repos des faisceaux de repos, avec des autorisations de déplacements longitudinaux d'un seul côté de la poutre, la force sismique qui se développe dans la direction longitudinale est redistribuée de manière uniforme sur les différentes piles, sans provoquer de concentration de tensions.

En ce qui concerne la méthode de construction, l'absence de contraintes particulières le long de la route, la hauteur modeste des piles et la lumière réduite des ponts, ont suggéré la réalisation de ce schéma très simple, il consiste en une séquence de repos - poutres au repos.

L'optimisation en termes économiques et en termes de temps de réalisation a été obtenue en subdivisant la construction du tablier en deux phases distinctes. En fait, la partie inférieure de la poutre a été réalisée dans une première phase en utilisant une structure de support externe (échafaudage), tandis que dans la seconde phase, la partie inférieure du corps a déjà été utilisée.

Cio'ha a permis d'une part de réduire les coûts de l'échafaudage, poiche'si e'potuto piu'snella utiliser une structure de support ayant un poids considérablement réduit par rapport à l'hypothèse de la totalité de la section de support (base + semelle), et l'autre a permis d'optimiser le temps de réalisation de réutilisation de la même échafaudage pour la réalisation de la poutre suivante, tandis qu'en parallèle, il procède aux opérations de mise en tension et la semelle intérieure de jet pour la durée gia'realizzata.